vendredi 14 décembre 2018

Mon Polo, mon petit amour...
Tu es parti mardi, d'une vilaine détresse respiratoire, j'ai tellement de chagrin...
Tu es parti d'une façon épouvantable, comme ta grand-mère Proxima. Tu t'en vas la rejoindre parmi les étoiles, tu y retrouveras aussi ton papa Prometheus et ta maman Galaxy. Tu laisses derrière toi des paupiettes orphelines, ton fils Pollux a été très triste de ton absence. Tu t'en es allé beaucoup trop tôt mon Polaris...

Mi-saucisse, mi-crêpe, 100% bisouilleur, tu as été un compagnon parfait. Toujours gentil, un peu idiot aussi, tu avais cette joie de vivre qui caractérisait tant ton papa avant toi, le petit Pollux en a aussi hérité. 
Tu avais deux passions dans la vie, les bisous et les cheveux. 
Tu aimais monter sur l'épaule pour farfouiller dans ma tignasse, plusieurs fois tu es parti victorieux une mèche entre les dents, quel saucisson !
Je ne pouvais jamais t'en vouloir, parce que tu revenais toujours en bondissant me lécher la main, me couvrir de bisous. Tu pouvais y passer des heures...
Puis tu étais tellement jaloux. Tu avais le chic pour dégager les autres en faisant la crêpe sur ta maman pour prendre toute la place, toute l'attention.

Tu me manques tellement mon Polaris. Tu ne viendras plus faire la crêpe sur moi tout en me léchant les doigts. 
Ma nouille farcie à la tendresse, je te vois dans ton fils Pollux, mi-crétin, mi-ratmoureux...

Le coeur de ta maman est brisé mon Polaris, tu en emmènes un morceau avec toi là-haut dans les étoiles. Je suis sûre que tu le lècheras jusqu'à ce qu'il soit le plus brillant dans le ciel.




 
 


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