jeudi 30 mars 2017



Quelle tristesse... Mon Iocaste, ma souricette... Nous t'avons laissé partir paisiblement ce matin, tu t'es envolée sous mes caresses rejoindre ta maman Europa à qui tu étais si attachée et à qui tu ressemblais tellement en terme de caractère. Tu avais aussi le même potentiel "tronches improbables" qu'elle. 
Ma discrète, ma timide... Hier tu es restée dans mes bras une heure entière à te faire câliner alors que ce n'était pas du tout ton truc. Tu étais plutôt du genre asticot-pouik ! Mais là, allongée dans mes bras, tu peinais vraiment à respirer, tu n'avais plus la force de protester contre ces affreux câlins... j'ai bien compris.
Ma belle Iocaste, tu pars avec tout mon amour... Donnes-en un peu à ta maman et à tes frères partis trop tôt eux aussi là haut dans les étoiles. 


 

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